H-R Brésil / P-L Riché
Henry-Robert Brésil
Brésil est né aux Gonaïves en 1952. IL commença à peindre très jeune, mais sa carrière débuta vraiment quand il vint s’établir à Port-au-Prince en 1963. Il est connu pour ses scènes de jungle. Brésil a eu beaucoup de critiques glorieuses dans des journaux et magazines de décoration. Il gagna le prix de l’Ispan-Unesco au Musée d’Art Haïtiens. Il a exposé dans de nombreux pays. Très populaire au Japon, une de ses toiles est présentée sur les cartes de recharge de la compagnie japonaise de téléphonie pendant de nombreuses années. Il meurt en Haïti en 1999.
Pierre-Louis Riché
Né en 1954 au Cap Haïtien, de parents fermiers, il commença à peindre à l’âge de 20 ans après avoir terminé ses études secondaires et fréquenta l’atelier de Philomé Obin et peigna seulement des scènes historiques. Un peu plus tard, il commença à peindre des personnages s’inspirant des familles bourgeoises des provinces. Beaucoup comparent ses toiles à celles de Botero. Mais Riché répète souvent qu’il n’a jamais vu une toile de Botéro et refuse toute comparaison avec ce dernier. Il a exposé un peu partout en Europe, en Amérique, au Japon et ses œuvres sont appréciées des grands collectionneurs.
H-R Brésil / P-L Riché
Henry-Robert Brésil
Brésil est né aux Gonaïves en 1952. IL commença à peindre très jeune, mais sa carrière débuta vraiment quand il vint s’établir à Port-au-Prince en 1963. Il est connu pour ses scènes de jungle. Brésil a eu beaucoup de critiques glorieuses dans des journaux et magazines de décoration. Il gagna le prix de l’Ispan-Unesco au Musée d’Art Haïtiens. Il a exposé dans de nombreux pays. Très populaire au Japon, une de ses toiles est présentée sur les cartes de recharge de la compagnie japonaise de téléphonie pendant de nombreuses années. Il meurt en Haïti en 1999.
Pierre-Louis Riché
Né en 1954 au Cap Haïtien, de parents fermiers, il commença à peindre à l’âge de 20 ans après avoir terminé ses études secondaires et fréquenta l’atelier de Philomé Obin et peigna seulement des scènes historiques. Un peu plus tard, il commença à peindre des personnages s’inspirant des familles bourgeoises des provinces. Beaucoup comparent ses toiles à celles de Botero. Mais Riché répète souvent qu’il n’a jamais vu une toile de Botéro et refuse toute comparaison avec ce dernier. Il a exposé un peu partout en Europe, en Amérique, au Japon et ses œuvres sont appréciées des grands collectionneurs.